L’article publié par Information Security Media Group rapporte que le groupe hacktiviste LulzSec Black a affirmé avoir piraté des secrets nucléaires indiens en représailles au soutien de l’Inde à Israël.
Le groupe prétend avoir accédé à des informations sensibles, y compris la localisation précise des réacteurs nucléaires indiens et des informations personnelles sur les employés, qu’il mettrait en vente. Cependant, la société de renseignement sur les menaces Resecurity a qualifié ces affirmations de « dramatiquement exagérées » ou de « mensonges purs et simples ».
Resecurity suggère que les données réellement en possession de LulzSec Black pourraient se limiter à des informations d’identité et de contact de spécialistes nucléaires, potentiellement obtenues via des sites de recrutement tiers. Les données incluent des titres de postes tels que “auditeur de sécurité” et “ingénieur nucléaire”, avec des mentions de « Top Secret » qui pourraient avoir été ajoutées pour donner l’impression d’une fuite de données d’une installation nucléaire.
Le contexte géopolitique est tendu, avec des alertes américaines sur des menaces accrues contre les infrastructures critiques, suite à des frappes israéliennes contre l’Iran. Malgré un cessez-le-feu fragile, les gouvernements restent sur leurs gardes face à d’éventuelles représailles.
Cet article de presse spécialisé vise à analyser la véracité des revendications de LulzSec Black et à évaluer les implications pour la cybersécurité internationale.
🔗 Source originale : https://www.databreachtoday.com/hacktivists-claimed-breach-nuclear-secrets-debunked-a-28881