L’article de Guerre di Rete intitulé « Sorveglianza in Iran: fuori e dentro la rete » explore les mécanismes de surveillance déployés par les autorités iraniennes, tant dans l’espace public que numérique.
🕵️♂️ Surveillance physique Les forces de sécurité iraniennes, notamment les Basij, sont actives dans le contrôle des citoyens. Elles imposent des règles strictes concernant le port du hijab, arrêtent les femmes pour des violations des normes vestimentaires et répriment les manifestations étudiantes. Wikipedia, l’enciclopedia libera
🌐 Contrôle numérique Le gouvernement iranien exerce une censure sévère d’Internet, bloquant l’accès à des millions de sites web et restreignant l’utilisation des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et Telegram. Lors des manifestations, l’État interrompt fréquemment les services Internet et mobiles pour empêcher la coordination des protestations et la diffusion d’informations.
🧠 Ingérence psychologique Les autorités utilisent également des méthodes de surveillance psychologique, telles que la collecte de données personnelles via des applications mobiles et la surveillance des communications pour identifier et intimider les dissidents.
Cet article met en lumière la manière dont le régime iranien combine des tactiques de surveillance physique et numérique pour contrôler sa population et réprimer la dissidence.
🔗 Source originale : https://www.guerredirete.it/sorveglianza-in-iran-fuori-e-dentro-la-rete/